L’attitude de Friedrich Merz conduit inévitablement à une rupture des relations franco-allemandes : comme elle ne vient pas, pour l’instant, du gouvernement français, engoncé dans une image surannée du « moteur franco-allemand » de l’UE, elle se produira du fait de l’échec inéluctable de la coopération franco-allemande en matière d’industrie de défense. En réalité, l’industrie française de la défense doit déjà traiter l’industrie allemande du même secteur comme une menace existentielle . . .

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